Mes plus beaux mots naissent souvent derrière mes paupières. Lorsqu'elles sont alourdies par l’engloutissement vers le sommeil. Pas dans son creux, non. Ni dans son tréfonds. Sans quoi ils deviendraient des rêves. Non, ils surgissent dans l’éphémérité. Sur la crête de la conscience. A l’exact instant où je bascule. Quand la léthargie m’ouvre ses bras... Lire la Suite →