Lire pour écrire. Ecrire pour être lue. Être lue pour écrire.
Bonjour les amis, Vous n’aurez pas ma haine. C’est Antoine Leiris qui l’écrit avec une forme de digne sagesse. Rien n’empêche la tristesse et la colère, qu’il porte en lui depuis la mort de son épouse au Bataclan, mère de leur bébé. Rien n’empêche ce manque si présent. Ni l’impuissance qui fait face au mari... Lire la Suite →
13 novembre 2015… Avec Terrasses ou notre long baiser si longtemps retardé, un sublime récit polyphonique, Laurent Gaudé m’a fait endosser plusieurs rôles. Entrer successivement dans la peau de divers personnages et dans une réalité apocalyptique. Par le prisme des blessés, des policiers, des pompiers, des badauds, des voisins, de la famille, des amis… Et... Lire la Suite →
13 novembre 2015... Je n’ai pas les mots Je n’ai que les larmes Prisonnier, un sanglot Je n’ai pas les armes. Me restent mon ventre noué Mon corps endolori Ma tête anesthésiée Et mon cœur gros, meurtri. En moi chaos et admiration Indignation, incompréhension. Je n’ai pas les mots Je n’ai que les larmes Je... Lire la Suite →
Le livre que je ne voulais pas écrire. Et bien pour moi, au départ, c'était plutôt : le livre que je ne voulais pas lire. Pour être honnête, je n'avais pas très envie de lire de témoignages de rescapés du Bataclan. Pas que ce déplorable et malheureux événement me laisse indifférente, bien au contraire !... Lire la Suite →
Je suis dans un taxi parisien. Propre. Avec un chauffeur, indien me semble-t-il. Aimable. Peu loquace. Habillé classe. Classe mais laid. Son costume couleur rosâtre légèrement chiné est... étonnant. Je crois que c'est le bon terme. En tout cas je n'en trouve pas d'autre. Il n'en n'existe pas d'autre pour cette tenue. Intérieurement je souris.... Lire la Suite →
La parenthèse de Céline 