Cher Pascal Grégoire,
Il y a tout juste un an, peu avant sa sortie, tu me remettais entre les mains ton roman dédicacé : L’apogée (Novice). Tu me le confiais alors que je m’apprêtais à partir en voyage. En te lisant, mon évasion à moi était de comprendre ce par quoi tu étais passé et ce qui t’avait incité à écrire ce livre. Tes 60 ans. Cet âge tremplin, propice à tant de questionnements sur sa vie passée, sur sa vie future et le présent qui peut vite devenir creux et dénué de sens. Se pose alors le dilemme suivant : Faut-il organiser une fête pour passer ce cap ? Ou pas. Et oublier ce moment. Un roman réjouissant et authentique qui se dévore le temps de quelques sourires, le temps d’une émotion qui peut nous saisir. Une histoire qui, bien évidemment, te ressemble. Pascal, tu fais ici preuve d’une grande autodérision qui n’est autre que le reflet d’une belle intelligence de l’âme.
J’avais emmené ton livre dans mes bagages pour en débuter la promotion de manière ludique. L’apogée a donc pris la pose devant l’opéra de Sydney, s’est fondu dans les couleurs des marchés typiques de Séoul ou encore s’est incliné dans des temples bouddhistes à Singapour. Et tant d’autres moments pittoresques ! Alors merci pour ta confiance et pour la mention de l’avis de La Parenthèse de Céline en quatrième de couverture.
Aujourd’hui encore, L’apogée est toujours sur les tables de librairie ou disponible à la commande. Et il n’est pas nécessaire d’avoir 60 ans pour être séduit par cette histoire ! Toutes les questions abordées peuvent l’être à divers moments d’une vie.
La parenthèse de Céline 
j’ai lu ce livre avec beaucoup de plaisir, écrit avec talent,légèreté et ironie mais aussi avec plein de doutes.
oui pourquoi fêter des anniversaires qui nous pèsent ! Pour plaire aux autres ou se faire plaisir, bonne question? Pas facile!
bonne lecture 📖
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