Culturissimo à Cherbourg, Stéphane Freiss : Acte 10/scène 1
Bonjour les Amis,
Si je vous dis festival Culturissimo 10ème édition, Stéphane Freiss, lecture… Vous savez de quoi et de qui je parle. Peut-être même penserez-vous : Encore ! Or cette fois cet évènement a pris une dimension toute particulière. En deux temps oserais-je dire.
Samedi soir, au cinéma L’Odéon de Cherbourg, le comédien et réalisateur nous a offert un moment très fort avec un texte qui l’est tout autant de par son audace, son humour et surtout sa grande intelligence. Il n’y a pas de Ajar de Delphine Horvilleur. Également rabbin libéral, elle ouvre des portes entre les diverses communautés et questionne avec une grande subtilité sur l’identité.
Ses mots portés par la voix ample et pénétrante de Stéphane Freiss ont tout à coup été incarnés, ils sont devenus vivants dans sa bouche. Le personnage fictif prenait corps et force. Il me parlait. Il nous contait son histoire. Et pourtant, j’ai cru être seule dans cette salle pleine. Emportée par la puissante narration, tour à tour j’ai beaucoup ri, été éveillée, intriguée, et je me suis dit que oui tout ça était tellement vrai !
Avec un timbre unique, un ton propre, une humanité palpable, tu as su cher Stéphane, magnifier l’essence des mots d’une très grande écrivaine.
C’était beau. C’était juste. C’était toi. C’était vous.
Or cette belle aventure ne s’est pas arrêtée là. Ta générosité l’a emporté et une seconde lecture complètement inédite et insolite a été donnée… Intrigant, non ?
Je vous raconte cette histoire dans la chronique suivante : Acte 10/scène 2.
La parenthèse de Céline 
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