Bonsoir les Amis,
Je vous propose aujourd’hui de revenir sur un livre magnifique, une véritable petite perle d’humanité et sur son auteur que j’ai découvert par la même occasion.
Le Roitelet de Jean-François Beauchemin, grand écrivain canadien.
Le narrateur nous fait les témoins de sa relation avec son frère schizophrène. Une fulgurance…
Dès la fin de ma lecture, souvenez-vous cher Jean-François, je vous avais écrit. La teneur de mes propos était à peu près de cet ordre :
“ Cher monsieur Jean-François Beauchemin, j’ai terminé la lecture de votre livre Le Roitelet. Votre roman est une pure merveille ! Cette sensation de lire et vivre pleinement la beauté des mots et celle de l’âme humaine m’a enveloppée tout au long de ma lecture…/…”
Ce à quoi vous m’avez gentiment répondu depuis votre Québec. La neige commençait à tomber, votre chien à vos pieds. Votre message touchant rappelait combien ce livre portait plus sur l’amour et la fraternité que la maladie. Ce que je vous avais dit avoir particulièrement aimé.
Je vous laisse découvrir ou relire ma chronique sur ce titre.
La parenthèse de Céline 
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