Bonjour les Amis,
Une fois de plus, j’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver Aurel le Consul. Le héro de la série imaginée par Jean-Christophe Rufin est dans ce troisième opus, muté en Azerbaïdjan, à Bakou, sa capitale. Il a quitté l’Afrique où il a des vécu de drôles d’aventures dans les précédentes histoires. Aurel mène aujourd’hui une enquête sur l’origine de la mort de l’épouse de l’Ambassadeur – surnommé le flambeur de la Caspienne -. Officiellement morte accidentellement, le Consul a du mal à croire à cette version. Ses investigations pour découvrir la vérité font voyager le lecteur jusqu’à Rio, en passant par quelques évocations de la Russie.
J’aime beaucoup la plume sobre et directe de Jean-Christophe Rufin, ses métaphores souvent pleines d’humour et le portrait presque pathétique qu’il dresse de son héro solaire malgré tout. Car sous son air stupide et son allure improbable – à peu près semblable au célèbre inspecteur Columbo -, ce petit bonhomme dont tout le monde se moque est loin de manquer de sensibilité, d’imagination et de finesse d’analyse. Un personnage extrêmement attachant que j’attends avec impatience à chaque parution !
Voici donc un polar ensoleillé, un voyage au cœur des jeux de pouvoir de la diplomatie à glisser sans hésitation dans votre valise de vacances. Vous passerez assurément un excellent moment de lecture.
Belle lecture chers Amis.
Je vous glisse les chroniques des deux précédents livres de la série Aurel le Consul :
La parenthèse de Céline 
Votre commentaire