Bonsoir les Amis,
Parce qu’un livre est aussi une histoire de rencontre. Une rencontre avec des vies fictionnelles ou réelles. Celles inventées, de toutes pièces construites sur le papier, ou celles vécues. Et parfois une alliance équilibrée des deux. Des vies imaginées à partir de faits existants.
C’est la forme qu’a choisi Pascal Grégoire. Dans chacun de ses deux livres, après avoir trouvé une idée à défendre ou à démontrer, il s’inspire du monde qui nous entoure pour créer des personnages et leur faire vivre des aventures très ancrées dans la réalité.
Qu’il s’agisse d’une crise financière qui a bouleversé une partie du monde ou la difficulté à occuper le poste de maire en France, ces livres abordent des sujets d’actualité, revisités avec une part de romanesque.
Parce qu’un livre est aussi une histoire de rencontre, elle a parfois lieu également avec l’auteur.
C’est la sortie de ton premier roman, Goldman sucks, qui nous a réunis la première fois Pascal. Autour de signatures, d’un déjeuner, de conversations passionnantes que j’ai pour certaines gardées en mémoire et quelques rires bien entendu ; le lien s’est créé instantanément puis tricoté au fil du temps. Jusqu’au Prix du roman non publié que tu m’as invitée à soutenir. J’ai très vite cédé face à l’originalité de ce projet. Là encore, j’ai fait de très belles rencontres grâce à toi. Avec des êtres dont je ne manquerais pas de parler prochainement.
En attendant de retrouver ta plume clairvoyante et empreinte d’humanité dans un prochain livre, je remets à l’honneur tes deux précédents titres.
Goldman sucks, paru en 2018, une histoire acerbe et drôle sur fond de crise à la fois des subprimes et de la quarantaine.
Monsieur le maire, paru en 2020, un roman qui traite du point de basculement d’un être humain l’entraînant vers sa chute.
Très belles lectures chers Amis.
La parenthèse de Céline 
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