Bonsoir les Amis,
Encore du Stefan Zweig me direz-vous peut-être… Oui, or quand c’est sublime et exaltant, je ne compte pas. Au contraire, je profite, me délecte, partage et offre en espérant le même plaisir aux lecteurs à qui j’aurais suscité l’envie de lire ce texte. Ce livre, – un des chefs-d’œuvre de l’auteur autrichien – est un des rares que j’ai lus à plusieurs reprises au fil des années. Et voilà, j’ai à nouveau plongé ces derniers jours…
La confusion des sentiments. Il n’y aurait pas eu de meilleur titre pour prétendre être le reflet de cette histoire. En deux mots et sans rien dévoiler – exercice toujours périlleux avec Zweig – Un jeune étudiant est fasciné par un de ses professeurs. Un récit admirable et puissant, écrit avec une plume extrêmement subtile, d’une rare beauté. Chaque mot est juste, posé avec une délicatesse de dentellière. A chaque page, j’ai envie que mon esprit photographie les passages qui me troublent, me font foncièrement vibrer. Ceux qui disent la beauté intellectuelle du texte et l’embrasement qu’elle procure. Je veux les garder dans ma mémoire poétique.
Stefan Zweig possède ce talent fou et merveilleux pour décrire la passion et analyser les sentiments humains avec finesse. En particulier ici, il est question de l’ambiguïté entre amitié et désir, d’amour interdit, des élans du corps.
La fadeur de mes mots pour tenter de vous relater ce que je ressens à la lecture de Zweig, m’incite à vous laisser découvrir vous-mêmes ou relire cette magnifique Confusion des sentiments.
Très belle lecture chers Amis
J’en profite pour vous glisser quelques chroniques d’autres titres de Stefan Zweig :
La parenthèse de Céline 
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